«S'il y a un président mauritanien qui ne se soucie que de se faire des sous, c’estMohamed Ould Abdel Aziz. Avec l’homme, la Mauritanie n’a jamais connu, un tel mauvais régime militaire», a déclaréAhmed Ould Daddah.
Le président du parti RFD, interviewé parAlakhbar, a averti que « tous les pays seront touchés par le vent du changement. La Mauritanie aura sa bonne part du printemps arabe ; le changement est inévitable. Seulement, à chaque pays ses valeurs et ses particularités qui déterminent son changement.»
Et concernant les récentes déclarations de Messaoud, son ex-allié dans la COD, Ould Daddah s’est empêché de tout commentaire. «Je ne suis pas habitué aux querelles, a-t-il dit. Mais laissons le peuple et l’histoire juger. L’essentiel est que la Mauritanie est mal gérée par un régime militaire solitaire.»
Quant à la stratégie du gouvernement pour faire face à la sécheresse qui profile à l’horizon, le chef de l’opposition mauritanienne a regretté que «non seulement qu’elle est intervenue tardivement, mais ne correspond pas aux réalités sur le terrain. Je crains, d’ailleurs, qu’elle ne soit pas un autre alibi de détournement de deniers publics.»
Enfin sur les efforts consentis par la Mauritanie dans la lutte contre la corruption, Ahmad Ould Daddah nous renvoie à l’indice de Transparancy International «Si vraiment laMauritanie méritait plus, l’institution internationale le lui aurait noté» a-t-il précisé.
Le président du parti RFD, interviewé parAlakhbar, a averti que « tous les pays seront touchés par le vent du changement. La Mauritanie aura sa bonne part du printemps arabe ; le changement est inévitable. Seulement, à chaque pays ses valeurs et ses particularités qui déterminent son changement.»
Et concernant les récentes déclarations de Messaoud, son ex-allié dans la COD, Ould Daddah s’est empêché de tout commentaire. «Je ne suis pas habitué aux querelles, a-t-il dit. Mais laissons le peuple et l’histoire juger. L’essentiel est que la Mauritanie est mal gérée par un régime militaire solitaire.»
Quant à la stratégie du gouvernement pour faire face à la sécheresse qui profile à l’horizon, le chef de l’opposition mauritanienne a regretté que «non seulement qu’elle est intervenue tardivement, mais ne correspond pas aux réalités sur le terrain. Je crains, d’ailleurs, qu’elle ne soit pas un autre alibi de détournement de deniers publics.»
Enfin sur les efforts consentis par la Mauritanie dans la lutte contre la corruption, Ahmad Ould Daddah nous renvoie à l’indice de Transparancy International «Si vraiment laMauritanie méritait plus, l’institution internationale le lui aurait noté» a-t-il précisé.